30 Mai Les 7 conseils à suivre pour une réduction de la vulnérabilité des données et leur protection
Au sein des entreprises, chacun devrait participer au maintien de la qualité des données client. Mais malheureusement, il est rare que quelqu’un en ait la responsabilité globale. En conséquence, si personne n’en a la responsabilité, personne ne s’en occupera.
Les 7 conseils à suivre pour une réduction de la vulnérabilité des bases de données et leur protection :
1 – Des données de moindre qualité ont un coût
Ne pas veiller à une bonne qualité des données a des conséquences non seulement en termes de productivité de l’organisation mais également sur la pertinence des décisions stratégiques prises par le haut management de l’entreprise. Chacun a besoin de données informatives fiables pour prendre des décisions ad hoc.
2 – Acquérir une véritable connaissance de son client pour personnaliser la relation.
En 2023 les prospects/clients attendent des marques un traitement personnalisé, prenant en compte leurs goûts, leurs souhaits, etc. Les données clients que les entreprises ont à leur disposition leur permettent de personnaliser la communication. Pas de personnalisation sans données fiables.
Pour que la donnée puisse être exploitée, plusieurs solutions de dé-doublonnage, d’enrichissement des informations, sont disponibles.
3 – Procéder à une collecte efficace des données.
Aujourd’hui, les sources de ces données sont diverses et multiples. La multiplication des canaux de communication décuple de façon exponentielle le volume de données. Il est donc essentiel pour les organisations qu’elles se dotent d’un référentiel client unique, centralisateur des données disponibles et qui leur donne du sens. Le CRM peut jouer ce rôle.
4 – Faire en sorte que les données puissent être exploitées intelligemment.
Pour que la donnée puisse être exploitée, plusieurs solutions de dédoublonnage, d’enrichissement des informations sont disponibles.
En revanche, un e-mailing ciblera tous les contacts remplissant plus ou moins le rôle de Directeur.rice marketing (resp. marketing, resp. marketing et communication, resp. communication, etc.).
5 – Savoir renoncer à un niveau de détail trop élevé.
Une donnée réputée exploitable repose parfois sur son niveau de détail et sur l’usage qui va en être fait. Dans le cadre du lancement d’un produit à destination des marketeurs. Le courrier expédié à chacun d’entre eux devra porter l’intitulé exact de la fonction visée. En revanche, un e-mailing ciblera tous les contacts remplissant plus ou moins le rôle de Directeur.rice marketing (resp. marketing, resp. marketing et communication, resp. communication, etc.).
6 – Sensibiliser les salarié(e)s
Les problèmes de sécurité sont souvent d’origine humaine. Sensibiliser les salarié(e)s représente donc la première étape d’une stratégie dédiée à la gouvernance des données. Il ne faut surtout pas hésiter à enseigner les bonnes pratiques : changer régulièrement de mot de passe, vérifier la qualité et l’identité de l’expéditeur avant d’ouvrir la pièce jointe d’un e-mail, etc.
7 – Veiller à ce que la qualité des données et leur sécurité soit optimale, pour une meilleure satisfaction client.
Le prospect/client n’est plus ignorant du fait qu’il est le capital de l’organisation. Cette réalité peut se traduire par cette réflexion du consommateur : « si ce n’est pas payant, c’est que mes données seront valorisées par la marque ». Certains prospects/clients peuvent l’accepter, encore faut-il leur assurer que leurs données sont bien sécurisées. Car il faut bien être conscient que l’apparition d’une crise de confiance est toujours très délicat à gérer pour une organisation, cette crise pouvant provoquer dans le pire des cas la faillite.
Pour conclure, de la qualité des données dépend la satisfaction client.